10 vérités sur Gaza que personne ne veut entendre en ce moment

Une image de douleur — et un trésor de propagande pour le Hamas.
Par Timo Lokoschat, rédacteur en chef adjoint de BILD
Les images en provenance de Gaza sont déchirantes. Des immeubles éventrés, des enfants affamés, des parents désespérés — la souffrance des civils est bien réelle, profonde, et se déroule sous nos yeux chaque jour. Celui qui ne ressent aucune compassion face à une telle misère a perdu toute humanité. Aucun être humain ne devrait vivre ainsi. Aucun enfant ne devrait grandir parmi les décombres. Cette guerre doit cesser — et le plus tôt sera le mieux.
Mais la clarté morale exige plus que de la pitié. Elle impose des questions difficiles : qui a provoqué cette souffrance chez les civils de Gaza — et qui exploite cyniquement leur douleur à des fins politiques ?
1. Le Hamas veut que la population meure de faim
Cette semaine a marqué un tournant : pour la première fois depuis le début de la guerre, Israël a livré de la nourriture directement à la population de Gaza — en contournant le Hamas. Réaction immédiate : colère hystérique des terroristes et de leurs partisans, allant jusqu’à des menaces de mort contre ceux qui osent accepter du pain ou des pâtes.
Pourquoi ? Parce qu’un business lucratif est menacé. Depuis des décennies, le Hamas s’enrichit grâce à l’aide humanitaire — revendant la nourriture à prix fort pour financer la terreur et s’en mettre plein les poches.
Et au-delà de ça : une population affamée offre de meilleures images et se manipule plus facilement. Le fait que même des représentants de l’ONU aient critiqué cette distribution sans le Hamas montre l’ampleur de leur complicité.
2. L’Allemagne partage la responsabilité du désastre à Gaza
Le monde occidental a détourné le regard pendant que le Hamas transformait Gaza en base terroriste. Tout le monde savait qu’ils creusaient des centaines de kilomètres de tunnels et s’installaient dans les hôpitaux, écoles, immeubles.
Et que faisait l’Europe ? Elle continuait à envoyer de l’argent. Des milliards versés à des ONG complices ou aveugles. Résultat : le Hamas a eu tout le temps de préparer calmement le 7 octobre.
Un chèque en blanc humanitaire au service du terrorisme.
3. Logique du Hamas : plus de souffrance, mieux c’est
La souffrance des enfants palestiniens est l’arme la plus puissante du Hamas contre Israël. C’est pourquoi les terroristes se cachent parmi eux, les utilisent comme boucliers humains, et veulent que leur propre population meure de faim.
Parce qu’ils comprennent très bien l’Occident : plus la souffrance civile est grande, plus la pression sur Israël l’est aussi. Voilà pourquoi Gaza doit être libérée de la domination du Hamas.
Critiquer l’armée ou le gouvernement israélien ? Bien sûr ! De nombreux experts israéliens le font déjà. Mais eux proposent de vraies alternatives — pas de simples jugements moralisateurs depuis un canapé berlinois.
4. Un cessez-le-feu sans conditions est une pause stratégique pour le Hamas
Le chancelier allemand Friedrich Merz, le ministre des Affaires étrangères Johann Wadephul et d’autres appellent à une pause. Cela semble civilisé — mais c’est en réalité cynique. Chaque pause permet au Hamas de se réorganiser, de réparer ses tunnels, et de préparer le prochain 7 octobre.
Ce n’est pas une stratégie de paix — c’est une garantie de terreur. Sans l’élimination du Hamas, il n’y aura jamais de reconstruction durable à Gaza, ni de dignité ni de prospérité.
Et si Israël ne peut pas mettre fin au régime terroriste, alors quelqu’un d’autre doit le faire.
5. L’Occident n’a aucun plan pour Gaza — seulement des exigences envers Israël
Appeler à un cessez-le-feu est facile. Mais quel est le plan de Merz ou Wadephul pour Gaza ? Que se passe-t-il si Israël se retire ? Le Hamas reste au pouvoir — et pourrait même être récompensé par un État. Ce serait quoi ? Sûrement pas une “Riviera méditerranéenne”, mais un Kaboul en bord de mer.
Démocratie : interdite. Droits des femmes : effacés. Coexistence : jamais envisagée.
Et non, ce qui se passe à Gaza n’est pas un génocide. Israël ne cherche pas à exterminer les Palestiniens — il tente de démanteler une organisation terroriste qui a promis un nouvel Holocauste.
6. Le Hamas gagne la guerre de l’information
Le champ de bataille n’est pas qu’un terrain militaire. Il est aussi médiatique, émotionnel, idéologique. Et sur ce terrain, le Hamas gagne malheureusement.
De nombreux médias occidentaux considèrent encore le “ministère de la santé” de Gaza — entièrement contrôlé par le Hamas — comme une source fiable, malgré ses nombreuses manipulations. Les morts civils sont automatiquement imputés à Israël — même sans preuve, comme dans le cas récent de la prétendue “attaque israélienne” près d’un centre d’aide humanitaire.
Résultat : l’illusion dangereuse que le Hamas protège les civils — alors que c’est l’inverse.
7. Les otages — oubliés du débat public
Près de 60 otages — dont des citoyens allemands — sont encore détenus par le Hamas. Ils sont torturés, maltraités, humiliés. Et pourtant, eux et les victimes du 7 octobre ont pratiquement disparu des radars.
Pourquoi ? Parce que leur histoire rappelle qui a commencé cette guerre — et pourquoi Israël se bat.
8. “Le Hamas n’est pas le peuple” ? C’est plus compliqué
Dire “le Hamas n’est pas le peuple” est rassurant — mais souvent faux. Des décennies d’endoctrinement par un régime qui revendique l’héritage idéologique des nazis ont laissé des traces.
Même dans les écoles maternelles, des enfants rejouent des scènes de meurtres de Juifs.
Les célébrations de masse du massacre du 7 octobre n’étaient pas un accident. Beaucoup ont applaudi. D’autres ont regardé sans réagir.
Gaza n’a pas seulement besoin de nourriture. Elle a besoin d’une libération, d’une désintoxication, d’une “dénazification politique” – comme l’Allemagne après 1945.
9. Le monde arabe ne fait rien – et personne ne s’interroge
Pendant qu’on exige des comptes à Israël, l’Égypte, la Jordanie, l’Arabie Saoudite & Co se taisent. Aucune révolte contre le Hamas. Aucun accueil massif de réfugiés. Aucune initiative de paix réelle.
La solidarité arabe s’arrête aux frontières (très bien gardées) — car ils savent très bien qui est le Hamas. Mais l’Occident préfère pointer du doigt Israël plutôt que froisser ses “partenaires”.
10. Les victimes musulmanes n’intéressent que quand Israël est impliqué
Des millions de musulmans sont morts — en Syrie, en Irak, en Iran, au Yémen, au Nigeria, en Afghanistan, au Myanmar, en Chine. Et pourtant : aucune manifestation de masse. Aucun boycott. Aucune vague de hashtags.
Mais dès que les Juifs défendent leur État, la colère devient mondiale.
Cette indignation sélective parle d’elle-même : ce n’est pas une question de droits humains — c’est une obsession contre Israël—
10 vérités sur Gaza que personne ne veut entendre en ce moment
Une image de douleur — et un trésor de propagande pour le Hamas.
Par Timo Lokoschat, rédacteur en chef adjoint de BILD
Les images en provenance de Gaza sont déchirantes. Des immeubles éventrés, des enfants affamés, des parents désespérés — la souffrance des civils est bien réelle, profonde, et se déroule sous nos yeux chaque jour. Celui qui ne ressent aucune compassion face à une telle misère a perdu toute humanité. Aucun être humain ne devrait vivre ainsi. Aucun enfant ne devrait grandir parmi les décombres. Cette guerre doit cesser — et le plus tôt sera le mieux.
Mais la clarté morale exige plus que de la pitié. Elle impose des questions difficiles : qui a provoqué cette souffrance chez les civils de Gaza — et qui exploite cyniquement leur douleur à des fins politiques ?
1. Le Hamas veut que la population meure de faim
Cette semaine a marqué un tournant : pour la première fois depuis le début de la guerre, Israël a livré de la nourriture directement à la population de Gaza — en contournant le Hamas. Réaction immédiate : colère hystérique des terroristes et de leurs partisans, allant jusqu’à des menaces de mort contre ceux qui osent accepter du pain ou des pâtes.
Pourquoi ? Parce qu’un business lucratif est menacé. Depuis des décennies, le Hamas s’enrichit grâce à l’aide humanitaire — revendant la nourriture à prix fort pour financer la terreur et s’en mettre plein les poches.
Et au-delà de ça : une population affamée offre de meilleures images et se manipule plus facilement. Le fait que même des représentants de l’ONU aient critiqué cette distribution sans le Hamas montre l’ampleur de leur complicité.
2. L’Allemagne partage la responsabilité du désastre à Gaza
Le monde occidental a détourné le regard pendant que le Hamas transformait Gaza en base terroriste. Tout le monde savait qu’ils creusaient des centaines de kilomètres de tunnels et s’installaient dans les hôpitaux, écoles, immeubles.
Et que faisait l’Europe ? Elle continuait à envoyer de l’argent. Des milliards versés à des ONG complices ou aveugles. Résultat : le Hamas a eu tout le temps de préparer calmement le 7 octobre.
Un chèque en blanc humanitaire au service du terrorisme.
3. Logique du Hamas : plus de souffrance, mieux c’est
La souffrance des enfants palestiniens est l’arme la plus puissante du Hamas contre Israël. C’est pourquoi les terroristes se cachent parmi eux, les utilisent comme boucliers humains, et veulent que leur propre population meure de faim.
Parce qu’ils comprennent très bien l’Occident : plus la souffrance civile est grande, plus la pression sur Israël l’est aussi. Voilà pourquoi Gaza doit être libérée de la domination du Hamas.
Critiquer l’armée ou le gouvernement israélien ? Bien sûr ! De nombreux experts israéliens le font déjà. Mais eux proposent de vraies alternatives — pas de simples jugements moralisateurs depuis un canapé berlinois.
4. Un cessez-le-feu sans conditions est une pause stratégique pour le Hamas
Le chancelier allemand Friedrich Merz, le ministre des Affaires étrangères Johann Wadephul et d’autres appellent à une pause. Cela semble civilisé — mais c’est en réalité cynique. Chaque pause permet au Hamas de se réorganiser, de réparer ses tunnels, et de préparer le prochain 7 octobre.
Ce n’est pas une stratégie de paix — c’est une garantie de terreur. Sans l’élimination du Hamas, il n’y aura jamais de reconstruction durable à Gaza, ni de dignité ni de prospérité.
Et si Israël ne peut pas mettre fin au régime terroriste, alors quelqu’un d’autre doit le faire.
5. L’Occident n’a aucun plan pour Gaza — seulement des exigences envers Israël
Appeler à un cessez-le-feu est facile. Mais quel est le plan de Merz ou Wadephul pour Gaza ? Que se passe-t-il si Israël se retire ? Le Hamas reste au pouvoir — et pourrait même être récompensé par un État. Ce serait quoi ? Sûrement pas une “Riviera méditerranéenne”, mais un Kaboul en bord de mer.
Démocratie : interdite. Droits des femmes : effacés. Coexistence : jamais envisagée.
Et non, ce qui se passe à Gaza n’est pas un génocide. Israël ne cherche pas à exterminer les Palestiniens — il tente de démanteler une organisation terroriste qui a promis un nouvel Holocauste.
6. Le Hamas gagne la guerre de l’information
Le champ de bataille n’est pas qu’un terrain militaire. Il est aussi médiatique, émotionnel, idéologique. Et sur ce terrain, le Hamas gagne malheureusement.
De nombreux médias occidentaux considèrent encore le “ministère de la santé” de Gaza — entièrement contrôlé par le Hamas — comme une source fiable, malgré ses nombreuses manipulations. Les morts civils sont automatiquement imputés à Israël — même sans preuve, comme dans le cas récent de la prétendue “attaque israélienne” près d’un centre d’aide humanitaire.
Résultat : l’illusion dangereuse que le Hamas protège les civils — alors que c’est l’inverse.
7. Les otages — oubliés du débat public
Près de 60 otages — dont des citoyens allemands — sont encore détenus par le Hamas. Ils sont torturés, maltraités, humiliés. Et pourtant, eux et les victimes du 7 octobre ont pratiquement disparu des radars.
Pourquoi ? Parce que leur histoire rappelle qui a commencé cette guerre — et pourquoi Israël se bat.
8. “Le Hamas n’est pas le peuple” ? C’est plus compliqué
Dire “le Hamas n’est pas le peuple” est rassurant — mais souvent faux. Des décennies d’endoctrinement par un régime qui revendique l’héritage idéologique des nazis ont laissé des traces.
Même dans les écoles maternelles, des enfants rejouent des scènes de meurtres de Juifs.
Les célébrations de masse du massacre du 7 octobre n’étaient pas un accident. Beaucoup ont applaudi. D’autres ont regardé sans réagir.
Gaza n’a pas seulement besoin de nourriture. Elle a besoin d’une libération, d’une désintoxication, d’une “dénazification politique” – comme l’Allemagne après 1945.
9. Le monde arabe ne fait rien – et personne ne s’interroge
Pendant qu’on exige des comptes à Israël, l’Égypte, la Jordanie, l’Arabie Saoudite & Co se taisent. Aucune révolte contre le Hamas. Aucun accueil massif de réfugiés. Aucune initiative de paix réelle.
La solidarité arabe s’arrête aux frontières (très bien gardées) — car ils savent très bien qui est le Hamas. Mais l’Occident préfère pointer du doigt Israël plutôt que froisser ses “partenaires”.
10. Les victimes musulmanes n’intéressent que quand Israël est impliqué
Des millions de musulmans sont morts — en Syrie, en Irak, en Iran, au Yémen, au Nigeria, en Afghanistan, au Myanmar, en Chine. Et pourtant : aucune manifestation de masse. Aucun boycott. Aucune vague de hashtags.
Mais dès que les Juifs défendent leur État, la colère devient mondiale.
Cette indignation sélective parle d’elle-même : ce n’est pas une question de droits humains — c’est une obsession contre Israël—
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